Poésie française d'Iran et état des lieux
Dans le monde , il y avait
Une planète vivante et pure
Une nature pleine de verdure
Se nourrissait à perte de vue
Paraissant comme un paradis inconnu
Le ciel couronné d'étoiles
Étendait sur la ville sa jolie voile
Les murmures déchiraient le silence
La nuit transmettait son influence
La nuage enceinte de pluie
Lavait les empreintes de suie
Le parfum des fleurs enivrait les coeurs
L'arc-en-ciel se naissait par ses couleurs
Les rayons du soleil enfievraient des fleurs
Les roses se recouvraient des pleurs de l'aurore
Les brises de l'aube caraissaient l'âme
L'air embaumé paraissait comme parfum
La nature vaniteuse cachait dans son sein
Les mystères de joli jardin
Ainsi, tous les secrets enfouis apparaissaient
Aux yeux de celui qui réfléchissait
La vie simple avait pour modèle la nature
Restant a l'écrat de toute torture
L'homme satisfait de son existence
Menait une vie pleine d'assurance
Les enfants sentaient la chaleur d'affection
Ne connaissant plus le sens de corruption
Les gens vivaient en pleine joie
Les capacités s'epanouissaient au choix
La sosieté, le royaume de simplicité
Donnait naissance aux sentiments de pureté
Vaniteuse de tous ses êtres lucides
Protegeait la fleuraison des aptitudes
Amour, espoir, optimisme, altruisme
Action, passion, sincerite, unité
Rayonnaient sous la lueur de moralité
Arosaient la racine de l'humanité
Soudain, un inconnu se manifeste
Son apparition brusque envahit l'Ouest et l'Est
Qui est-ce?
Il détruit, démolit, déracine et ruine
La vie douce s'expose à la ruine
Qui est-ce?
Cette fatalité empoissonne les fleurs
Prend la libertê et noircit les coeurs
Qui est-ce?
C'est le monstre de la technologie.
Une planète vivante et pure
Une nature pleine de verdure
Se nourrissait à perte de vue
Paraissant comme un paradis inconnu
Le ciel couronné d'étoiles
Étendait sur la ville sa jolie voile
Les murmures déchiraient le silence
La nuit transmettait son influence
La nuage enceinte de pluie
Lavait les empreintes de suie
Le parfum des fleurs enivrait les coeurs
L'arc-en-ciel se naissait par ses couleurs
Les rayons du soleil enfievraient des fleurs
Les roses se recouvraient des pleurs de l'aurore
Les brises de l'aube caraissaient l'âme
L'air embaumé paraissait comme parfum
La nature vaniteuse cachait dans son sein
Les mystères de joli jardin
Ainsi, tous les secrets enfouis apparaissaient
Aux yeux de celui qui réfléchissait
La vie simple avait pour modèle la nature
Restant a l'écrat de toute torture
L'homme satisfait de son existence
Menait une vie pleine d'assurance
Les enfants sentaient la chaleur d'affection
Ne connaissant plus le sens de corruption
Les gens vivaient en pleine joie
Les capacités s'epanouissaient au choix
La sosieté, le royaume de simplicité
Donnait naissance aux sentiments de pureté
Vaniteuse de tous ses êtres lucides
Protegeait la fleuraison des aptitudes
Amour, espoir, optimisme, altruisme
Action, passion, sincerite, unité
Rayonnaient sous la lueur de moralité
Arosaient la racine de l'humanité
Soudain, un inconnu se manifeste
Son apparition brusque envahit l'Ouest et l'Est
Qui est-ce?
Il détruit, démolit, déracine et ruine
La vie douce s'expose à la ruine
Qui est-ce?
Cette fatalité empoissonne les fleurs
Prend la libertê et noircit les coeurs
Qui est-ce?
C'est le monstre de la technologie.
Nassrine Daftartchi (étudiante de la langue et la littérature française à l'université islamique Azad de Tabriz)
suite sur site
http://membres.lycos.fr/linfini/indexframe-CORPSNassrineDaft.html
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