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Rousseau

Jean-Jacques Rousseau ( 1712-1801 )

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Publié le : 22 janvier 2006


Les Rêveries du promeneur solitaire


Première promenade.

Rousseau se regarde comme isolé sur la terre. Il écrit ses Promenades pour servir de suite à ses Confessions. Il n’a pas pour ses Rêveries les mêmes inquiétudes qu’il a eues pour ses Dialogues et ses premières Confessions.

Seconde promenade.

Rousseau s’aperçoit que ses forces l’abandonnent peu à peu. Il fait une chute à Ménil-Montant. Détails de cet accident funeste. Cris et effroi de sa femme à son arrivée chez lui. Il reçoit plusieurs visites d’une dame. Ses ennemis répandent le bruit de sa mort à la cour et à ville. On veut ouvrir une souscription pour l’impression de ses manuscrits.

Troisième promenade.

L’étude d’un vieillard est d’apprendre à mourir. Tableau de la philosophie moderne. Famille de Rousseau ; son enfance, sa réforme, ses règles de conduite et de foi.

Quatrième promenade.

Rousseau aime le bon Plutarque ; c’est le livre qui lui profite le plus. Il a à se plaindre de l’abbé Royou. Il se rappelle un mensonge de sa jeunesse qui l’afflige beaucoup. Dissertation sur le mensonge et sur le temple de Gnide. Portrait d’un homme vrai. Il répond mal à une question qu’on lui fait à table. Il a plus souvent gardé le silence sur le bien qu’il a fait que sur le mal. Exemples qu’il en donne.

Cinquième promenade.

Description de l’île de Saint-Pierre. Rousseau regrette de n’avoir pu y fixer son séjour. Il y travaille à la botanique. Détail de ses amusements dans cette île. Il y fonde une colonie.
Sixième promenade.
Rousseau va herboriser à Gentilly. Il rencontre en chemin un petit bossu. S’il avoit eu l’anneau de Gygès, il ne s’en seroit servi que pour le bonheur de l’univers.

Septième promenade.

Rousseau, devenu plus que sexagénaire, suit son penchant pour la botanique. Il herborise jusque sur la cage de ses oiseaux. Théophraste est le seul botaniste de l’antiquité. Les idées médicinales ôtent tout le charme de l’étude des plantes. Il compare ensemble les trois règnes de la nature. Anecdotes sur ses herborisations en Suisse, et sur l’humilité d’un avocat de Grenoble.

Huitième Promenade.

Rousseau ne changeroit pas sa destinée, quoique très déplorable, contre celle du plus fortuné des mortels. Il avoue qu’il a eu beaucoup d’amour-propre quand il a vécu dans le monde. Il ne s’affecte pas des maux à venir, mais de ceux qu’il souffre dans le moment. Tous les événements de la vie et les piéges des hommes n’ont plus de prise sur lui.

Neuvième promenade.

On lui porte l’éloge de madame Geoffrin avec mauvaise intention. Conduite de Rousseau envers ses propres enfants. Raisons qu’il donne pour se justifier. Il éprouve beaucoup de plaisir à voir et à observer la jeunesse. Ses promenades à Clignancourt et à la Muette. Fête de la Chevrette. Amusements de Paris comparés avec ceux de Genève et de Suisse. Promenade de Jean-Jacques aux Invalides.

Dixième promenade.

Époque où Rousseau fait connoissance avec madame de Warens. Son bonheur chez cette dame. Il fait ses efforts pour rendre cette union durable.

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